Thomas Mulcair prouve que l'anti-américanisme n'a que faire du président en place ou de ses politiques.
Quand on es anti-américain, on hait les Américains et la société américaine en toutes circonstances.
On peut réussir à le camoufler un certain temps, mais comme tout ce qui est vicéral, le jupon finit toujours par dépasser.
Yannick Gagné
Libre@penseur
5 mai 2011
jeudi 5 mai 2011
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