samedi 30 novembre 2013

Quelques questions légitimes à propos du «réchauffement climatique»


Extrait d'un texte de Jean-Michel Bélouve
 
Je vous retourne ensuite un certain nombre de questions :
 
- Il y a-t-il une raison de se demander pourquoi la température globale stagne depuis 16 ans alors que la concentration en gaz à effet de serre ne cesse de croitre ?
 
- A-t-on le droit de se demander pourquoi, au temps de l’Optimum Médiéval, les températures étaient aussi élevées, voire plus, que de nos jours ?
 
- Est-il incongru de demander pourquoi les modèles climatiques aboutissent-ils à des résultats si différents les uns des autres dans leurs prévisions à long terme ?
 
- Pourquoi ces mêmes modèles, qui n’ont pas prévu la pause récente des températures, sont-ils considérés comme plus fiables dans leurs prévisions à cent ans ?
 
- Quelles conclusions tirer de la lecture du chapitre 9 de l’AR5 Groupe 1 récemment publié par le GIEC, qui montre que les simulations des modèles climatiques ne sont conformes à la réalité observée ni sur les températures, ni sur les profils d’humidité atmosphériques, encore moins sur les nuages, et pas plus sur les aérosols ou la banquise antarctique ?
 
- Enfin, qu’est-ce qui distingue un bon climatologue d’un Richard Lindzen, d’un Roy Spencer, d’un Kabikoulo Abdussamatov, et de centaines d’autres scientifiques bardés de titres et de récompenses qui ne sont pas d’accord avec la théorie dominante, et que le GIEC ignore ?
 
 
Yannick Gagné
Libre@penseur
29 novembre 2013

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